Les femmes, premières victimes des récents scandales sanitaires
L’affaire du Mediator, des pilules troisième génération, de la Dépakine, du Levothyrox, de l’Androcur… À chaque fois, les femmes sont les plus touchées. En cause ? Des dérives de prescriptions à visées esthétiques, une moindre recherche des effets secondaires propres à leur métabolisme ou encore sur la contraception.
La lecture des articles est réservée aux abonné·es.
Se connecter
LaLa toute première audience opposant trois victimes du traitement hormonal Androcur au laboratoire allemand Bayer se tient ce mercredi 29 mai à 9 h 30. Ces trois victimes assignent ce fabricant d’un médicament antipilosité devant le tribunal de grande instance de Bobigny pour défaut d’information sur les risques encourus : l’apparition de tumeurs au cerveau. Au moins 500 femmes en ont souffert en une décennie (lire notre enquête).