Chômage Parti pris

Brutaliser les chômeurs, ultime étape du cynisme politique

Après six ans d’attaques contre le droit au chômage, Gabriel Attal a encore annoncé ce mercredi soir de nouvelles mesures d’économie. Taper sur les plus précaires est un moyen commode pour l’exécutif de faire oublier que ses choix ne favorisent pas les salariés ou les classes moyennes.

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Des mots choisis et un ton démonstrativement volontariste, pour une dialectique tournant à vide et un argumentaire aux fondations aussi fragiles que du sable. Mercredi 27 mars au « 20 heures » de TF1, le premier ministre a annoncé la mise en chantier d’une troisième réforme de l’assurance-chômage en six ans.

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